Codeti, codap, codres… Les différents codes de construction
Par Aurélien Di Rienzo
Le 15/04/2019
Par Aurélien Di Rienzo
Le 15/04/2019
Le SNCT (Syndicat National de la Chaudronnerie, Tuyauterie et Maintenance industrielle) représente les intérêts des sociétés liées à la chaudronnerie-tuyauterie-maintenance industrielle. Un de ses objectifs ? Valoriser le savoir-faire et l’expertise de la profession relatifs à la conception et à la fabrication d’équipements entrant dans des procédés industriels divers. Dans un secteur en mouvement, les codes permettent de définir clairement les pratiques de la profession.
Le SNCT a une pratique de codification âgée de plus de 70 ans. Le premier code connu est le CORMAT, qui a été diffusé en 1943.
Depuis, le nombre de codes a bien augmenté. Lorsque les codes actuels étaient encore sous format papier, ils regroupaient environ 22 000 pages relatives aux réglementations applicables, aux matériaux, à la conception et au calcul, à la fabrication, aux contrôles, aux essais et aux inspections.
Ces ouvrages diffusés par SNCT Publications sont maintenant disponibles sous format numérique depuis plus de deux ans.
Les codes de construction proposent des règles de conception, calcul, construction et inspection pour chaque type d’appareil.
À ces codes de construction s’ajoutent d’autres ouvrages, les « CTM » (Chaudronnerie Tuyauterie Maintenance), guides et recommandations à utiliser en complément des codes ci-dessus dans les domaines suivants :